« Il devrait y avoir quelque part sur la terre un lieu dont aucune
nation n’aurait le droit de dire : il est à moi ; où tout homme de
bonne volonté ayant une aspiration sincère pourrait vivre librement comme un
citoyen du monde, et n’obéir qu’à une seule autorité, celle de la suprême
vérité ; un lieu de paix, de concorde, d’harmonie, où tous les instincts
guerriers de l’homme seraient utilisés exclusivement pour vaincre les causes de
ses souffrances et de ses misères. »
Mirra Alfassa, surnommée « La Mère » extrait de « Un
rêve »